Randonnée sur Tenerife et la Palma, séjour 8 jours avec un guide

Trek aux Canaries avec une semaine à  la découverte de 2 îles volcanique, voilà  ce que nous vous proposons lors de cette randonnée accompagnée à  Tenerife et à  la Palma. Pour la première, nous vous emmenons avec nous dans les 2 principaux parcs naturels de l'île, le Teno et l'Anaga, et bien sûr dans le parc national du Teide où nous nous lancerons à  l'ascension du plus haut sommet d'Espagne, magnifique montagne volcanique culminant à  3718m d'altitude. La seconde, dont le territoire a été intégralement déclaré « Réserve de Biosphére » par l'Unesco (qui sont des sites désignés par les gouvernements nationaux et reconnus par l'UNESCO pour promouvoir un développement durable basé sur les efforts combinés des communautés locales et du monde scientifique), vous la découvrirez à  travers sa merveilleuse caldera de Taburiente, ses richesses volcaniques mais également à  travers ses paysages plus verts. Ce trek accompagné n'attend plus que vous !

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• Les vols aller-retour si cette option a été sélectionnée lors de l'établissement de votre devis.
• L'hébergement avec petit-déjeuner et suivant votre devis hébergement en "classique, confort, charme".
• La pension complète (sauf le 1er et le dernier jour), pique-nique en activité.
• Guide accompagnateur de l'agence.
• Tous les transferts prévus au programme.

• Le téléphérique pour monter au Teide (12.5 euros par personne).
• Le taxi le jour 6 si vous ne souhaitez pas faire l'ascension (environ 50 euros la voiture)
• Les boissons et les extras personnels.
• Les repas du midi des jours 1 et 8 (repas entre 5 et 15€ par repas et par personne)
• Les cadeaux et pourboires. A ce niveau, il n'y a aucune obligation. Chaque personne est libre d'offrir ce qu'elle désire. Les pourboires ne représentent pas un deuxième salaire, mais simplement un geste pour les remercier de l'attention qu'ils vous ont portée durant le séjour. En règle générale nous conseillons de donner entre 25 et 30€ par participant.
• L'assurance annulation et rapatriement.

• Découverte d'îles différentes.
• Les plus beaux paysages de Tenerife et de la Palma grâce à une sélection des plus belles randonnées.

Carte d'identité :

Intitulé officiel du pays : Communauté autonome des Canaries
Pays : Espagne
Superficie : 7 447 km²
Population : 2,2 millions d'habitants
Capitale : Las Palmas de Gran Canaria/Santa Cruz de Tenerife
Religions : catholicisme
Peuples et ethnies : Espagnols, Nord-Africains, Latino-Américains et Européens du Nord
Langues : castillan (langue officielle) et espagnol canarien
Institutions politiques : une des 17 communautés autonomes d'Espagne

Histoire :

200 av. J.-C. – D’un point de vue géologique, ces îles sont jeunes puisqu'on estime qu'elles ont 30 millions d'années. Les premiers peuplements remontent à 200 av. J.-C., mais il est probable qu'elles aient été habitées plus tôt. L'origine des premiers habitants, les Guanches, demeure l'objet de spéculations. On parle d'émigrants celtiques ou nordiques. Mais il est possible que les Berbères, venus d'Afrique, aient été les premiers à s'installer.

XIIIe-XIVe siècles - Au Moyen Âge, différentes tribus se partagent les îles. La seule île de Tenerife ne compte pas moins de neuf royaumes. Les Guanches vivent en majorité dans des grottes ; ils pratiquent certaines cultures, la cueillette et la chasse. Le capitaine génois Lancerotto Malocello débarque vers la fin du XIIIe siècle sur l'île qui porte aujourd'hui son nom: Lanzarote. Utopistes à la recherche du légendaire Río de Oro censé couler à la latitude des Canaries, missionnaires et marchands d'esclaves passent ou s'y installent. Mais celles-ci ne font leur apparition sur la carte qu‘en 1341.

1402-1479 - En 1402, le Normand Jean de Béthencourt s'établit aux Canaries. Fort du soutien de l'Espagne, il entreprend de les conquérir. Cent ans de colonialisme honteux s'ensuivent, marqués par des massacres et l'asservissement de nombreux Guanches. Le traité d'Alcáçovas, en 1479, fait des Canaries une possession de l'Espagne.

XVIe-XIXe siècles - Défiant l'Espagne, les premières troupes marocaines occupent Lanzarote en 1569 et 1586. Las Palmas est détruite par une flotte hollandaise en 1599. Sous la conduite de l'amiral Robert Blake, les Anglais finissent par battre les Espagnols à Tenerife. Mais ceux-ci résistent et, en 1821, les Canaries deviennent une province espagnole. Santa Cruz de Tenerife est choisie comme capitale.

Début du XXe siècle - La culture de la canne à sucre, de la banane, de la vigne, l'élevage de la cochenille, qui fournit le carmin, connaissent diverses fortunes. Le blocus maritime imposé par la Grande-Bretagne pendant la Première Guerre mondiale porte un coup fatal au commerce de la banane. Les Canariens partent en masse pour l'Amérique latine à la recherche d'une vie meilleure.

1936 - La guerre civile éclate en Espagne. Pour l'empêcher de mener à bien son projet de coup d'État, la République espagnole envoie le général Franco aux Canaries qui s'en s'empare. Les nationalistes franquistes arrêtent tous les sympathisants canariens de la cause républicaine.

Années 1950-1960 - Après la guerre, la misère pousse des milliers de Canariens à fuir, cette fois clandestinement et à destination du Venezuela surtout. Au début des années 1960, le général Franco décide d'ouvrir la porte au tourisme. Des millions de touristes s'y rendent chaque année.

1982-1996 - Les îles Canaries sont une comunidad autónoma (région autonome) depuis 1982, et la Coalición Canaria a joué un rôle important dans la victoire du Partido Popular, parti de droite, aux élections de 1996.

2006 - Les îles doivent faire face à un afflux d’émigrés illégaux venus d'Afrique. Porte d'entrée de l'Union Européenne, le nombre d'arrivées avait atteint 31 200 personnes débarquées illégalement.

2007 - Paulino Rivero est élu président du gouvernement des Canaries au sein de la Coalición Canaria. Pendant l'été, l'archipel a connu d'importants incendies : au 31 juillet, 35 000 ha avaient déjà brûlé et 13 000 personnes étaient évacuées.

Géographie:

Situées dans l'océan Atlantique, à l‘Ouest du Maroc, les îles Canaries sont au nombre de sept principales et six îlots, qui sont les sommets émergés d'une vaste chaîne volcanique sous-marine. L'île de Fuerteventura, à l‘Est, se trouve à moins de 100 km de la côte marocaine. Couvrant un territoire un peu moins grand que celui de la Corse, l'archipel présente une multitude de paysages : étranges plateaux volcaniques, falaises battues par l'océan, forêts majestueuses, vignobles et champs d'oliviers. Les volcans formant l'épine dorsale de l'archipel ont vu le jour au moment de la formation de la chaîne de l'Atlas en Afrique du Nord, il y a des millions d'années. Le volcan le plus élevé des Canaries, le Teide (3 718 m), à Tenerife, est aussi le plus haut sommet d'Espagne et le troisième du monde après ceux de Hawaii. Cette activité volcanique a donné au sol sa fertilité, mais les îles sont dépourvues de rivières et souffrent périodiquement du manque d'eau.

Climat:

Les Canaries vivent un éternel printemps. La moyenne des températures varie entre 18°C en hiver et 24°C en été. Si la chaleur se fait sentir sur la plage, l'air sera plus frais en montagne ; l'hiver, vous aurez besoin de vêtements chauds en altitude. Les îles septentrionales connaissent un climat subtropical, à l'exception de Lanzarote et de Fuerteventura, plus sèches et un peu plus chaudes. Les précipitations sont généralement faibles, sauf sur les côtes Nord exposées aux vents et surtout sur la partie Nord des îles les plus montagneuses. Les îles au relief plus plat ne reçoivent que très peu de pluies. Il arrive que le sirocco, vent chaud venant du Sahara, se mette à souffler, surtout en été ; la lumière devient crépusculaire et une couche de poussière recouvre tout. C'est dans les îles de l‘Est que ce vent, surnommé le kalima par les Canariens, est le pire.

Faune et flore :

Les différences d'altitude et la richesse des sols volcaniques ont doté les îles de véritables trésors biologiques. Environ la moitié des 2 000 espèces de plantes existantes sont endémiques, dont le palmier des îles Canaries ou le pin. En raison des microclimats, la végétation est d'une grande diversité, des sites de laurisilva (lauriers, houx, tilleuls et bruyères recouverts de lichens), classés patrimoine mondial par l'Unesco aux régions semi-désertiques où poussent les palmiers et le cardón de Jandía, une espèce rare ressemblant au cactus. L'animal le plus intéressant est le lagarto del Salmor, un lézard repoussant pouvant atteindre un mètre et qu'on ne trouve que sur l'île de Hierro. Quelques espèces de chauves-souris sont installées et plus de 200 espèces d'oiseaux s'y abritent, ils ne font toutefois que passer. Le canari vit dans les espaces sauvages, mais ne vous attendez pas au petit serin que vous avez souvent vu en cage : son cousin des îles n'est pas jaune mais brun. Les îles représentent, en théorie du moins, un des territoires protégés les plus étendus d'Europe : les parcs, nationaux ou naturels, regroupent 42% des terres. Il existe quatre parcs nationaux, dont celui de Teide, qui s'étend autour du volcan, et celui de Garajonay, une forêt primitive.

Langue:

L'espagnol, ou plus exactement le castillan, est la langue officielle des îles Canaries, et les seuls termes guanches qui subsistent sont des noms de lieux.

Bonjour : ¡Hola!
Au revoir : ¡Adios!
S'il vous plaît : Por favor
Excusez-moi : Perdón/Perdone
Comment allez-vous ? : ¿Cómo está?
Très bien, merci : Estoy bien, gracias

Traditions et coutumes :

Les gens se fréquentent habituellement dans la rue ; les invitations à dîner ou à une soirée chez des particuliers sont l'exception plutôt que la règle. Les Canariens vivent à la méditerranéenne : le matin commence tard, une longue pause est ménagée entre 14 et 17h pour le déjeuner, la sieste et des retrouvailles familiales ;  le travail reprend ensuite quelques heures, suivi du dîner, et la vie sociale se  prolonge tard dans la soirée.

• Tenues vestimentaires : s’agissant d’une destination balnéaire, les autochtones sont très habitués aux visiteurs en petite tenue. Le nudisme est même pratiqué sur certaines plages. Néanmoins, portez une tenue décente en ville et lors des visites d’églises et de monuments.
• Photos : les Canariens sont affables, souriants et se prêtent volontiers aux portraits à condition de leur demander au préalable.
• Sujets sensibles : les pateras (bateaux clandestins emmenant les immigrants africains sur les côtes canariennes) ; le Sahara Occidental, ex-possession espagnole ; les réglementations imposées par l’UE à propos la production de bananes et de tomates et la reconversion des agriculteurs dans l’industrie du tourisme ; le phénomène de " double insularité " dont souffrent les petites îles par rapport à Tenerife et à la Grande Canarie.

Religion:
On connaît mal le système de croyance complexe des Guanches avant l'arrivée des Espagnols. L'un des premiers soucis des conquistadores fut de convertir les Guanches au catholicisme. Si les Canariens ne débordent pas de ferveur religieuse, l'église joue tout de même un rôle social important dans l'archipel.

Gastronomie:

Fortement influencée par l'Espagne, la cuisine canarienne n'en ai pas moins originale. La spécialité que vous verrez le plus souvent est le mojo, une sauce aux nombreuses variantes dans laquelle on trempe à peu près tout, des cuisses de poulet au gofio (mélange de blé, de maïs ou d'orge cuit au four, qui remplace le pain), en passant par les papas arrugadas, de petites pommes de terre nouvelles cuites en robe des champs. La pomme de terre fut introduite aux Canaries au XVIIe siècle en provenance du Pérou et les connaisseurs en distinguent jusqu'à 23 variétés différentes. Parmi les nombreuses soupes, le potaje de berros (potage de cresson) et le rancho canario (bouillon avec des nouilles, de la viande et des pommes de terre) sont les plus typiques. Le conejo en salmorejo (lapin mariné dans du vinaigre, de l'huile d'olive et de l'avocat) passe aujourd'hui pour un pilier de la cuisine canarienne, mais c'est en fait une spécialité venue d'Aragon. Modeste, la viticulture locale réserve parfois d'agréables surprises, surtout parmi les crus de Tenerife. Le vin le plus courant, le malvasía, provient de Madère et est généralement doux.

Formalités:

• Pour les ressortissants français, passeport ou carte d'identité valide. Pas de visa.
• Pour les autres ressortissants, merci de vous référer au site http://www.action-visas.com
• Voiture de location et permis de conduire: pour les ressortissants français, il n'est pas nécessaire d'avoir le permis de conduire international, uniquement votre permis CEE.

 Santé :

• Pas de vaccinations obligatoires mais certains sont conseillés (diphtérie, tétanos, poliomyélite, rougeole, coqueluche et hépatites A et B).
• Si vous êtes en cours de traitement médical, demandez à votre médecin traitant le « passeport médical », avec les détails de votre maladie et les médicaments dont vous avez besoin. Cela évitera toute confusion éventuelle avec la douane. Vous avez besoin d’un permis spécial pour amener avec vous des médicaments contenant des « substances contrôlées ».

 Monnaie :

• L’euro a remplacé le Peseta 1er janvier 2002
• A Puerto de la Cruz, il est facile de retirer de l’argent grâce à des distributeurs dans le centre-ville, ainsi qu’à Santa Cruz de la Palma

Décalage horaire:
2 heures été comme hiver

Encadrement :

• Voyages encadrés: un accompagnateur francophone 
• Voyages Liberté: sans accompagnateur, logistique sur place 

Informations supplémentaires :

Téléphone et fuseau horaire :

Pour appeler vers les Canaries, composez le +34. Si vous utilisez votre portable personnel dans les Canaries, composez +34 suivi du code de la zone et du numéro de téléphone. Hiver comme été, il y a 1h de moins au Canaries par rapport à la France : Lorsqu’il est midi chez nous, il est 11h dans l’archipel.

 Electricité :

220 volts AC

Horaires d’ouverture :

Généralement ouverts de 9h à 13h00 et de 16h à 20h. Les magasins sont souvent fermés le lundi matin et quelquefois le samedi après-midi. Certains supermarchés ne ferment pas le midi mais pas tous.

Équipement :

15 kg maximum en dehors de votre bagage à main.
1 sac marin, sac à dos ou sac de voyage avec des roulettes, plus facile à transporter.
 + grand sac plastique pour protéger les vêtements en cas d'orage
1 petit sac à dos (30 litres) (affaires de la journée) = bagage à main dans l'avion.
1 sac de couchage
Chaussures de marche (légères et solides) ou chaussures de moyenne montagne (en cuir). 
Les chaussures doivent avoir été déjà portées !!
1 paire de baskets ou espadrilles pour le soir.
Anorak chaud ou petite veste en duvet en hiver, et veste type Goretex en été.
2 pulls over : 1 léger + 1 très chaud (ou fibre dite "polaire").
Cape de pluie.
Chemises, Tee shirts, pantalon confortable, training selon les goûts de chacun. 
Short long et maillot de bain (à partir de mai).
Serviette de bain
Chapeau et lunettes de soleil.                                                   
Chaussettes laine et coton.
1 boussole.
1 pochette plastique pour protéger les documents du road book.
Lampe de poche (type frontale), piles et ampoules de rechange.
2 Gourdes d'un litre minimum et canif de poche.
Nécessaire de toilette (serviettes rafraîchissantes pour remplacer l’eau de toilette : lingettes).
Papier hygiénique et briquet pour brûler celui-ci après usage.
Petite pharmacie personnelle (médicaments personnels, aspirine ou doliprane, vitamine C, anti diarrhéique, collyre, crème solaire (lèvres et peau), crème hydratante, un rouleau de sparadrap, une bande élastique adhésive large style Elastoplast (éventuellement "double-peau" contre les ampoules), une boite de pansements adhésifs, pochettes de désinfectants prêtes à l'emploi, 10 compresses stériles, pastilles de micro pure ou d'hydroclonazone pour désinfecter l'eau et anti-moustique.

Nous vous conseillons de prendre des valises à roulettes par commodité, sauf pour les programmes avec des animaux de bas (chameaux, mûles, ânes…) où il faut privilégier les sacs à dos et sacs de voyages pour éviter de blesser les animaux.